Les Avis en attente de publication

De prime abord, Mack est peut-être une humaine d'apparence ordinaire, mais elle vit avec une meute de métamorphes en Cornouailles, dans la province anglaise, après y avoir été abandonnée par sa mère quand elle était encore enfant. Elle souhaite désespérément être acceptée par sa famille adoptive, et pas seulement parce que beaucoup la détestent de n'être qu'une simple humaine : pour une raison inconnue, son sang n'accepte pas la transformation.

Avec ses cheveux roux et son tempérament de feu, Mack est incroyablement douée en combat, et quand l'alpha de sa meute est brutalement assassiné, elle jure de le venger. Malheureusement, le meurtre attire l'attention des membres de la Fraternité (les dirigeants du monde des métamorphes) qui n'hésiteront pas à massacrer la petite meute provinciale de Mack s'ils découvrent qu'une humaine s'y cache depuis son enfance.

Et malheureusement, Corrigan, Seigneur Alpha de la Fraternité, montagne de muscles aux yeux verts, n'est pas du genre à se laisser facilement duper...

La couverture m'a bien évidement tapé dans l’œil mais c'est le résumé qui m'a convaincu de "devoir" le lire. Comme il était en promo à 2,99€, je n'ai pas hésité longtemps.

Il n'a pas eu le temps de prendre de la poussière numérique car j'ai commencé à le lire une semaine après l'avoir acheté. Que voulez-vous ? C'est l'appel de la sirène du livre qui se faisait pressant.

Je l'ai lu en deux fois (dodo et boulot oblige) et j'ai été happé par le récit dès la première page. Je ne me suis même pas rendu compte que j'en avais déjà avalé la moitié quand je me suis couchée. Les pages défilent toutes seules. C'est diabolique.

L'histoire nous emmène en Cornouailles. On va découvrir le monde des métamorphes en suivant Mack car la narration est faite suivant son point de vue.

Mack m'a tout de suite plu avec son tempérament qui l'emmène quasiment droit dans les ennuis. Elle se croit humaine mais nous lecteurs, on se rend compte rapidement que ce n'est pas possible vu ses aptitudes.
Corrigan est intéressant, c'est le mâle Alpha habitué à être obéi. J'espère le découvrir un peu plus dans le prochain tome. J'adore ses dialogues avec Mack. Cela m'a donné des sourires de dingue.

C'est une lecture coup de foudre et cela fait un moment que je n'en avais plu eu. C'est classé en romance mais il n'y en a pas dans ce tome-ci.

Je dois dire que je suis presque triste d'avoir déjà fini le livre car il va falloir attendre décembre 2020 pour avoir la suite. Que je lirai. Sûre et certaine. J'ai faillais le pré-commandé mais je me suis rappelée que j'ai un budget à tenir et n'étant pas devin, je ne sais pas de quoi sera fait la fin d'année.

La fin des temps approche. Les cavaliers de l'Apocalypse devront choisir de préserver leur humanité et combattre aux côtés du Bien ou au contraire embrasser leur destinée et déchaîner l'enfer sur Terre.

Thanatos, le plus mortel des cavaliers, a enduré des milliers d'années de solitude et d'abstinence pour empêcher la fin des temps. Pourtant il suffira d'une nuit avec la séduisante guerrière Aegie, Regan Cooper, pour réduire à néant des siècles d'efforts. Mais leur étreinte enfiévrée aura une conséquence pire que l'Apocalypse : Regan va tomber enceinte. Et lorsque Thanatos parviendra à dépasser sa colère d'avoir été manipulé par la jeune femme, il va comprendre que pour empêcher Armageddon, il doit sacrifier la seule chose qu'il a jamais désirée : une famille.

Après avoir fini le tome sur Limos (Famine), j'avais très envie de lire celui-ci. Regan et Than m'avaient attrapée dans leur filet. Il s'est quand même écoulé cinq mois entre mes lectures du tome deux et du tome trois.

J'adore toujours autant les anciennes couvertures. Celle de ce tome-ci existe en deux versions. La première est celle que j'ai mis et l'autre est simplement inversée avec la femme en haut.

C'est avec une légère fébrilité que je me suis lancée dans ma lecture et je dois dire que j'ai été ravie.
On retrouve les personnages que j'ai adoré dans les autres tomes y compris la série "Demonica". N'oublions pas qu'il s'agit du même univers.

J'ai été un peu déçue de la perte d'un pouvoir de Regan mais l'auteure se rattrape en nous offrant une histoire à la hauteur de son talent.

J'ai lu le récit d'une traite tant c'était palpitant et fluide. Il m'était impossible de lâcher ma liseuse. Heureusement que c'était un vendredi soir sinon bonjour les yeux de pandas et quand tu es conductrice, ce n'est pas génial.

On est baladé à différents endroits. Pestilence est toujours en train de décimer les humains et est pratiquement derrière chaque action sans que l'on s'en rende forcément compte sur le moment.
Je vais peut-être avoir plus de mal avec le tome suivant qui lui est consacré car pour le moment je le déteste. Pour le savoir, on se revoit quand je l'aurai lu.

Larissa Ione est une auteure de haut niveau car elle arrive à gérer un énorme panel de personnages que l'on apprécie chacun avec leur caractère et les faire interagir sans que l'on se lasse. 

Megan Vandemeer comptait vraiment parler à ses parents de sa rupture avec son fiancé, mais voilà qu'un mois et demi plus tard, elle se retrouve dans l'avion pour assister à son propre mariage. Après avoir repoussé le moment le plus longtemps possible, il est l'heure pour elle d'avouer la vérité : une perspective terrifiante, puisqu'elle sait déjà que c'est à elle que sa mère en voudra, au lieu de blâmer son ex insensible et infidèle. Après quelques verres et deux cachets contre le mal des transports, Megan se retrouve en train de déballer toute son histoire au bel étranger assis à côté d'elle dans l'avion.

Josh McMillan décide de s'en remettre au destin et monte dans un avion à destination de Kansas City pour une dernière tentative désespérée de sauver son entreprise. Une solution inattendue lui apparaît sous la forme d'une belle femme brune assise à côté de lui. Elle a beau sembler un peu timbrée, son honnêteté, sa franchise et son humour ne manquent pas de le charmer. Ainsi, lorsqu'elle s'évanouit juste avant l'atterrissage, Josh l'aide à descendre : une action qui mène à un malentendu d'ampleur colossale, puisque les parents de Megan le prennent pour son fiancé. Mais lorsque Josh réalise que cette histoire pourrait lui permettre de sauver son affaire, il décide de jouer le jeu et d'aider Megan en même temps. Tout ce qu'il a besoin de faire, c'est de mettre en scène une rupture assez crédible pour apaiser la mère de celle-ci.

Josh n'est donc qu'un fiancé de substitution, mais plus Megan et lui passent de temps ensemble, plus leur relation semble réelle... et moins ils ont envie d'y mettre fin. Une belle histoire d'amour peut-elle naître d'une imposture ?

Je me suis procuré l'ebook lors d'une promotion de l'éditeur (d'autres titres également). Le résumé me plaisait bien et je me suis dit qu'un roman Feel Good, cela devrait être plaisant à lire.

L'histoire est intéressante ainsi que les personnages. J'ai apprécié Megan et Josh ainsi que Blair. Pas moyen de ne pas la remarquer. La trame du récit est bien mise en place.

En temps normal, j'aurai dû aimer. Attention, je ne dis pas que ce n'est pas plaisant à lire, loin de là. Je l'ai lu facilement. Il y avait des moments drôles sauf que cela ne m'a rien fait. Ni rire, ni pleurer, ni attendrir.

Le problème vient de moi, je le sais, car j'ai un problème avec les personnages qui tombent amoureux en quelques jours. Je trouve cela impossible à imaginer.

Je pense que ce titre conviendra mieux à d'autres lectrices (ou lecteurs). 

Moi, c'est Robyn, jeune mère célibataire au langage fleuri, maladroite et tatouée. Politiquement incorrecte et fière de l'être !
Le seul prince charmant auquel je crois est le héros du conte que je lis à ma fille tous les soirs.
Mon ex a failli me démolir et jamais plus je ne laisserai un homme me briser.
Je jongle entre mon travail de barmaid et de tatoueuse pour joindre les deux bouts. Ma princesse et moi, c'est nous deux contre le reste du monde !
Donc, je ne succomberai pas aux beaux yeux turquoise du grand ténébreux solitaire qui s'est installé dans l'appart juste en face de chez moi.
Je ne marcherai pas dans une crotte de chien devant lui du pied droit.
Je ne me vautrerai pas à ses pieds en me demandant si je n'ai pas oublié d'enfiler une culotte sous ma robe.
Et bien sûr, je ne le frapperai pas au visage avec une courgette génétiquement modifiée.
N'empêche, le mystère qui auréole ce superbe spécimen italien m'attire irrésistiblement, même si la plupart du temps, il est profondément antipathique et indéniablement glacial.
C'est grave docteur ?

Ce livre s'est retrouvé dans ma Pal rien qu'à cause du titre. Si, vous avez bien lu. Je vous avoue que je n'ai même pas lu le résumé avant de me décider. Je ne connaissais même pas l'auteure.

Après j'ai mis à peu près six mois avant que pouf ! J'ai eu envie de le lire. Ce livre fait parti de ceux dont tu as du mal à lâcher pour manger, dormir et aller bosser. J'en ai rêvé la nuit, j'y pensais au boulot. Bref, j'était totalement distraite.

Si je devais résumé l'histoire en un seul mot : jubilatoire.

Le récit m'a attrapé dès les premières pages. J'ai kiffé chaque paragraphe ainsi que les personnages. Pas de risque de s’ennuyer. Même les passages un peu sordides quand on suit Val dans l'exécution de son taf ne m'ont pas fait sourciller.

Robyn est très maladroite (cela me rappelle moi-même avant que je ne fasse du karaté), a un langage fleuri à faire pâlir ta grand-mère et une fille tout simplement adorable. Quand tu l'a rencontres, tu ne penses pas qu'elle a un passé douloureux donc cela te surprend un peu.

Val a tout de l'étalon italien qui te fait baver d'envie. Son boulot est tueur à gages. Bien entendu, il ne va pas l'avouer entre deux gorgées de café. Il fait tout pour rester loin de la tentation que représente Robyn.

Il y a d'autres personnages intéressants comme le cousin de Val ou la meilleure amie de Rob.

Je ne vais pas en dire plus, va te procurer le livre si tu veux en savoir plus. Je te préviens juste de penser à allumer la clim car il a des scènes de sexe bouillantes. Je n'en raffole pas habituellement mais là, c'est bien mené donc c'est passé sans problème.

Ce n'est pas un coup de cœur mais presque et je louche déjà vers la suite. Je vais juste lire quelques autres livres entre temps.

Anna Triss a d'autres à son actif comme la série "Myrina Holmes" qui me tente bien.

De retour à Saint-Gravel après plusieurs années d’absence, Thomas retrouve le village où il a grandi en centre jeunesse. Accueilli par Hugo, son meilleur ami d’enfance et désormais propriétaire de la ferme de son défunt père, il accepte de séjourner chez lui, le temps de se trouver un logis...

Soulagé qu’après toutes ces années, sa complicité avec Hugo soit intacte, Thomas n’en est pas moins sous le choc lorsqu’il apprend l’homosexualité de son ami. Cela risque-t-il de transformer leur relation ? Non ! Après tout, il n’a jamais eu de désir de cet ordre, avant.

Mais ça, c’était avant...

J'avais ce titre dans un coin de ma liseuse depuis un bon paquet d'années. Je suis retombé dessus en y faisant le ménage.

Je cherchais à lire une romance et mon choix s'est porté sur celle-ci.

L'histoire se situe dans un village, la majeure partie du temps à la ferme de Hugo. C'est typique de l'auteure car par la suite, elle a écrit un livre dans un registre un peu différent mais qui aborde certains thèmes en commun. Je l'ai lu avant celui-ci.

Le récit est narré uniquement par Thomas. J'aurai aimé avoir le point de vue de Hugo à certains moments. C'est vraiment intéressant de voir le cheminement de pensée de Thomas. On va du déni à l'acceptation.

On parle beaucoup de discrimination. C'est vraiment dommage que les humains se colle des étiquettes et ont des a priori totalement injustifiés. C'est l'un des maux de la société.

J'ai apprécié ma lecture. Bien plus que l'autre titre dont mon avis a été publié il y a quelques temps. Il ne s'est pas passé plus d'une demi-journée que j'étais déjà à la fin.

Il y a deux autres titres de Sara Agnès L. qui me tente mais ce n'est pas pour tout de suite.

Je me suis mise à la romance M/M, il y a quelques années, et c'est toujours un régal. Il va falloir que j'en rachète. J'ai épuisé mon stock. Ma Pal ne désemplie pas pourtant.

La fin des temps approche. Les Cavaliers de l'Apocalypse devront choisir de préserver leur humanité et combattre aux côtés du bien ou, au contraire, embrasser leur destinée et déchaîner l'Enfer sur Terre.

L'amour est une émotion défendue à l'immortelle Limos. Promise à Satan, celle qui deviendra Famine si elle se range aux côtés du mal est terrifiée par la réaction de ses frères s'ils découvrent la manière dont elle les a trahis des siècles auparavant. Mensonge après mensonge, la Cavalière se retrouve seule face à ses démons lorsque l'enfer engloutit - littéralement - Arik Wagner, le militaire humain qui a eu le culot de l'embrasser... et d'éveiller son désir.

Une tentation qui risque de déclencher l'Apocalypse si Limos décide d'y céder.

J'ai lu le tome précédant en 2015. Mazette ! Comme le temps passe vite. Presque cinq ans plus tard, je me remets à cette série que j'adore.

La couverture est l'ancienne version publiée par Bragelonne. Il y en a une nouvelle pour le format poche sous Milady mais je préfère celle-ci.

Pour vous situer, les séries "Demonica" et celle-ci font parties d'un même arc. Pour ne pas se perdre au niveau personnages, il faut commencer par "Demonica" tome un à cinq, puis lire "Guerre" qui précède "Famine". C'est quand même un peu compliqué à expliquer. Le plus simple, je viens de le découvrir, c'est d'aller sur le site de l'auteure ici.

Je retrouve avec bonheur l'univers même si j'ai eu du mal à me rappeler qui était qui. Heureusement que l'auteure nous donne un coup de pouce.

L'histoire nous emmène sur les traces d'Arik et de Limos, l'horrible passage en enfer et bien d'autres batailles. Bien qu'ils n'ont à priori rien en commun, on va découvrir le contraire.
Nous avons également eu un avant-goût du tome suivant avec Than et Regan qui promet d'être étincelant.

Le récit est fluide, les pages s’enchaînent facilement sauf pour quelques passages que j'ai trouvé un peu long.

J'ai apprécié ma lecture qui m'a permis de ne plus penser à des choses désagréables. Je l'ai lu en moins de vingt-quatre heures. Normalement, j'aurai dû mettre un peu plus de temps mais la tempête m'empêchait de dormir et au matin, j'avais une tête de déterrée.

J'ai l'intention de poursuivre rapidement cette série vu que j'ai déjà les tomes suivants dans ma Pal et de reprendre la série "Vampire Nation" également de Larissa Ione.

À quoi ressemblera la Terre quand l’être humain disparaîtra ? Ce n’est plus qu’une question de temps. Notre espèce est actuellement en voie d’extinction.

Lors d’une éruption du dernier volcan encore actif, vingt ans plus tôt, un monstrueux nuage pyroclastique a voilé notre planète et a engendré des conséquences catastrophiques : toutes les femmes sont devenues stériles depuis ce terrible jour. Toutes sauf une. Elle s’appelle Alya.

À sa naissance, le volcan l’a protégée de l’infertilité et lui a légué son puissant pouvoir de feu. Mais, le corps prolifique et le don de la jeune femme vont lui attirer les convoitises d’une organisation peu recommandable, dirigée par son propre père : La Sferia.

Il y a beaucoup de titres des éditions Livresque qui me tentent. J'en ai déjà quelques uns dans ma Pal. Celui-ci me faisait de l’œil donc je l'avais ajouté dans ma liste "ça m'intéresse" sur SimPlement et c'est la maison d'édition qui m'a proposé de le lire et chroniquer.

J'ai accepté mais quand j'ai eu le temps de le lire, le confinement est venu et l'envie de lire m'a déserté jusqu'en juillet. J'ai donc accumulé du retard entre les SP et les livres plaisirs.

Je l'ai finalement lu en trois jours vu mes nouveaux horaires de boulot. L'univers créé m'a scotché et fait frisonner car ne sait on jamais, cela pourrait arriver.

La Sferia est comparée à la Mafia. Ok niveau organisation, mais à un niveau dépassant l'entendement avec le côté maléfique.

Les personnages sont intéressants et bien construits. Il y en a beaucoup que je n'aime pas et ceux que j'apprécie se compte sur les doigts d'une main.

Alya est forte et a le pouvoir du feu et son tempérament volcanique. Pourtant, malgré sa lutte, elle a ses faiblesses, ses blessures et est impuissante face à une organisation destructrice qui a tout prévu.

La plume de Malia Belrun m'a entraîné dans le récit, du début à la fin, sans jamais pouvoir prévoir ce qui allait arriver. On est bousculé et ahuri par la tournure des événements et des révélations mais jamais on ne se lasse. On veut toujours en lire plus.

Je prévois de lire le prochain tome même si ce n'est pas tout de suite car j'ai clairement envie de savoir comment cela va se dérouler.

Seul le ravissant peut aimer, le gracieux prospérer, et le puissant régner… et je ne suis rien de tout cela.
Destinée à être la vilaine princesse, j'ai été enfermée derrière les portes du château. Mon père régnait avec un pouvoir immortel, et mes frères et sœurs étaient adorés et aimés de notre peuple, et le trône qui était censé m'appartenir allait à la place revenir à mon frère. 

Je voulais tout... 

Je me suis tournée vers une magie noire, une magie sans limites qui me libérerait ... mais l'amour avait d'autres plans. Mes pouvoirs exigeaient des sacrifices, mais je ne savais pas que le plus grand serait mon cœur.

La couverture m'a intriguée alors j'ai voulu en savoir plus. Le résumé étant attrayant, j'ai décidé de postuler au Service Presse.

Je n'ai pas tout de suite compris que c'était un prequel d'une série à paraître en 2021. Uniquement après avoir vu la note de l'auteure, mais cela ne m'a pas dérangée.

On entre dans un univers où il y a des immortels et de la magie. On suit Evangeline dans sa quête de vengeance qui va la mettre sur le chemin de la vérité et de l'amour.

J'ai lu ce prequel rapidement mais la fin m'a laissée toute triste. Ma lecture était tout de même plaisante et j'espère que la suite sera tout aussi passionnante.

Camille dialogue depuis plus d’un an avec un autre étudiant, Jeong Yoo Sik, un Sud-Coréen. Petit bémol, ce dernier pense que Camille est une fille... Alors, quand Yoo Sik annonce qu’il arrive à Paris pour quatre mois, Camille est confronté à son propre mensonge. Ainsi commence une amitié qui se transformera progressivement en autre chose de plus bouleversant pour Camille qui découvrira en Yoo Sik bien plus qu’un correspondant...

Je ne sais plus comment j'ai découvert ce titre alors que je l'ai acheté tout récemment. J'achète beaucoup de livres numériques sur Amazon, notamment quand ils sont à petits prix.

C'est le résumé qui m'a plu et donné envie de le lire. Il n'a pas attendu longtemps dans ma tablette pour être lu. Moins de deux semaines.

Un livre francophone, avec des phrases en anglais que je comprends sans vérifier (c'est trop bien de savoir lire l'anglais), du coréen, là j'ai dû le prononcer à voix haute pour comprendre (sauf un mot), et une possible romance M/M. Tous les ingrédients pour me plaire.

Je me suis quasiment jeté sur ma tablette pour découvrir l'histoire. I'm so exited !
Au fil des pages, j'aime de plus en plus, et j'ai du mal à fermer le livre pour dormir (je me lève à 5h30 quand même). Jeongmallo.

Les personnages sont plaisants et je m'identifie à Camille à cent pourcent, bien que je sois une fille. Yoo Sik me plait aussi (et pas seulement car je suis fan de Kdramas depuis dix ans).

On a des situations surprenantes. Certaines, je les voyais arriver et pas d'autres. Le passage par la roue c'est vraiment typique des séries asiatiques.

Ce jeudi matin, pendant mon petit-déj, je me dis que j'allais finir le livre car il restait quinze pourcent. Mal m'en a prit. Ma journée a été gâchée par la dernière page. J'ai eu le cœur brisé.
Hey you the author ! Can you see my broken heart ? What the hell did happen ? I'm so sad !

Ma lecture fut agréable si on oubli l'épilogue. L'auteure m'était inconnue et j'ai du attendre cinq heures avant d'écrire mon avis de peur de la descendre dans mes propos et de jurer comme un charretier autant en français qu'en anglais. 

Quel est le point commun entre les puddings en gelée et l’esprit de Noël ?

À priori aucun, jusqu’à la rencontre entre un séduisant British au caractère impulsif et une jeune décoratrice d’intérieur à l’imagination débordante !

Apolline Blanc, 28 ans, est une fan inconditionnelle des fêtes de fin d’année, son mantra : plus c’est kitsch, mieux c’est !
Quand son patron lui propose de créer la décoration d’un nouveau concept de restaurant, elle fonce, y met toute son énergie et son humour ! Quitte parfois à s’attirer les foudres de Jackson Parker, le roi du pudding…

J'ai découvert ce titre via une autre auteure, Sonia Dagotor, qui en parlait sur son fil d'actualité sur Facebook.

La couverture m'a plu, le titre pile dans le thème que je recherchais (oui, en période de fin d'année, je suis attirée par le thème de Noël) et le résumé attrayant ... ni une, ni deux, hop dans la liseuse.

Je n'ai pas pu le lire tout de suite car j'étais en retard sur des Service Presse. C'est chose faite maintenant (sinon vous ne seriez pas en train de lire cette chronique).

Le concept de base me plait. Il y a une bonne dose d'humour, voir de l'autodérision. D'ailleurs, le premier tiers du livre m'a vraiment emballée. Apolline adore la période autour de Noël. C'est chouette, un bon début.

Ensuite, j'ai été étonnée par le chaud et le froid soufflé par Jackson. Merci à l'auteure qui nous a donné un peu de sa perspective même si j'aurai aimé en avoir un peu plus.
Apolline et Jackson ont tous les deux un passé pas toujours très réjouissant. Leurs caractères sont également à l'opposé.

Les personnages sont plus ou moins attrayants. Carla est agaçante. C'est dans ces moments-là que je remercie mes parents de n'avoir que des frères. Milo et Nya sont adorables. Je me demande juste d'où vient le prénom "Nya" ? Cela me fait trop penser aux asiatiques qui font "nia" pour le miaulement du chat.

L'épilogue me laisse légèrement perplexe, surtout : "Apolline réalise enfin son rêve". J'ai l'impression d'avoir raté un chapitre ou alors j'ai une mémoire de poisson rouge parce que je n'ai pas compris lequel ...

Je vais suivre l'auteure car il y a déjà un autre de ses titres qui me tente ("Now Well" j'adore le jeu de mot).

Ma traduction :
Lucifer marche parmi nous. Dirigeant une armée d'anges déchus, il reçoit toujours les ordres d'en haut. Le bien ne peut exister sans le mal. La foi de l’homme doit toujours être mise à l’épreuve. C'est son travail de vous tenter. C'est à vous de résister. 

Il déteste son rôle. Il déteste notre monde. Il déteste les Hommes.
Mais il cherche toujours la rédemption.
L'Archange de la Lumière veut rentrer chez lui et pour la première fois en 7000 ans, il a peut-être une chance. ⁣

Malheureusement, son pardon tant attendu ne viendra que s’il abandonne la seule personne qu’il ait jamais aimé. 

Livia De Lucio vient de la Lumière. Descendante des anges, elle a attiré l’œil de Lucifer.
Son cœur pur l'intrigue.
Sa beauté le fascine.
Son amour le sauvera.

C'est la couverture et le nom "Lucifer" qui m'ont interpellés. Le résumé est tentateur alors je n'ai pas réfléchi longtemps avant de postuler au Service Presse.

On plonge directement dans un monde où les anges sont très présents mais les humains ne sont pas censés les voir. La dualité entre bien et mal est bien amené. 

Alors qu’il s’apprête à devenir prêtre, Matt revient dans la famille d’accueil qu’il a quittée, huit ans auparavant, pour être témoin au mariage de son ami Nicolas. Et s’il pensait avoir laissé son passé derrière lui, il a tout faux. À Sainte-Feyre, il retrouve un lieu et des gens qu’il affectionne énormément. Mais surtout, il retrouve Lilou, la sœur de Nicolas, dont il était secrètement amoureux à l’époque.

Une chose est sûre : la jeune femme a beaucoup changé. Devenue terriblement sexy et traînant une réputation de fille facile, elle fait de Matt sa cible lorsqu’elle apprend que celui-ci va rejoindre les ordres sans n’avoir jamais eu de copine...

Mais a-t-elle seulement le droit de voler une âme aussi pure à Dieu ?

J'ai acheté ce titre lors d'une opération de l'éditeur. La couverture a jouée en sa faveur et le résumé m'a convaincue.

Le côté religieux est bien présent avec les doutes qui surviennent mais l'histoire me laisse mi-figue, mi-raisin. J'ai apprécié beaucoup de moments mais j'avais parfois l'impression que Matt était comme un gamin qui ne sait rien face à une femme mature un peu perverse et se laisse entraîner malgré lui.

A part cela, le récit est plutôt fluide car on enchaîne les pages facilement mais il manque quelque-chose, le truc qui rend une histoire addictive. Là, on lit mais sans plus. J'ai pu reposer mon livre plusieurs fois sans problème.